on vous explique tout !
le début de la fin – 1997
Le terme est né d’un rapport appelé le rapport Brundtland rédigé par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de L’ONU.
Définition : « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. »
En anglais, on dira « Sustainable development » ou encore « Sustainability » (1 point pour celui qui prononce correctement!)
PLUS RÉCEMMENT…
DÉVELOPPEMENT DURABLE
L’ONU a développé un programme qui s’intitule (roulements de tambours…) : Agenda 2030.
Il s’articule autour de 17 objectifs parmi lesquels les plus connus :
• Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions,
• Le recours aux énergies renouvelables…
Et bien moins connus (Merci tuconnaispasdd) :
• Promouvoir le bien-être de tous à tous les âges,
• Réaliser l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
• Assurer à tous l’accès à la justice et à la santé.
• Pas de pauvreté : Objectif qui porte le n°1…et il n’est vert !
Les 5 piliers :
1/CHANGEMENT CLIMATIQUE – 2/BIODIVERSITÉ – 3/SOLIDARITÉ – 4/ÉPANOUISSEMENT-5/CONSOMMATION RESPONSABLE
EN BREF…
Chaque pays (193 États membres) fait son petit marché des objectifs…dans les 3 catégories « environnement » – « société » – « économie »
Plus communément appelées les « stratégies de mise en œuvre des objectifs. »
Retrouvez les 17 Objectifs « pour sauver le monde », (et ce n’est pas moi qui le dis) ici :
https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/objectifs-de-developpement-durable/
JEU : SAUREZ-VOUS TROUVER LES GRANDS PAYS ABSENTS ?
(Smiley clin d’œil)
QUID DE LA RSE?
Maintenant que vous avez tout compris sur les 17 objectifs du développement durable, imaginez qu’une entreprise (ou toute autre organisation) les applique au sein même de son modèle, vous obtenez : la RSE (Responsabilité Sociale/sociétale des Entreprises)
In english, vous l’aurez deviné, c’est CSR (Corporate Social Responsibility)
Comment cela se met en place ?
• Par une charte RSE,
ou encore
• Une feuille de route RSE.
De même que les pays, chaque entreprise choisit dans les petits carrés de couleurs pour définir des engagements qui correspondent/s’adaptent à la politique de l’entreprise…(on ne regarde pas chez le voisin, promis)
Trop de blabla me dit cet homme-là ? (bravo à ceux qui connaissent la chanson)
Pour éviter les paroles et paroles que l’on sème au vent… il existe :
• Le rapport RSE, qui s’appuie sur des preuves concrètes d’engagements (la fameuse empreinte carbone, la norme ISO 26000,9001,14001 etc…).
Des chiffres, des chiffres, c’est toujours plus sérieux…
• Des labels aussi ! Vous les croiserez de plus en plus (Bcorp, Lucie, Engagés RSE…). Ils définissent avec les entreprises un nombre de critères à respecter et contrôlés par les labels.
Des résultats affichés AVANT/APRÈS, en veux-tu? En voilà !
Quant à la parité? Au bien-être des employés?
Moins évident à chiffrer… Ma professeure de droit dirait « La preuve, la preuve, toujours le problème en justice… »
Un pour tous, tous pour un…
Des entreprises engagées, en quête de sens qui embarquent leurs employés dans les bons gestes au quotidien et dans la vie. C’est super, me direz-vous? Oui mais n’oublions pas…
« Ce n’est pas l’emballage qui fait le cadeau. »
— Anonyme
ET…il était une fois le méchant greenwashing
…qui « qualifie tout message publicitaire pouvant induire le public en erreur sur la qualité écologique réelle d’un produit ou d’un service ou sur la réalité de la démarche développement durable d’une organisation », selon l’Ademe (Agence de la transition écologique).
Et oui, quand une entreprise prend des engagements, naturellement – ou parce que les investisseurs lui ont soufflé que ce serait une bonne idée – elle a envie de le crier haut et fort ! Surtout que ça coûte un peu d’argent de revoir ses priorités…Dans ce contexte, nous ne sommes pas à l’abri de quelques dérives…
Comme par magie, tout devient 100% naturel et bon pour la planète, on mange du jambon végétal bio dans des emballages éco-responsables, les poules sont élevées en plein air (du moins sur la photo…), tout est recyclable ou recyclé…
Les campagnes ou slogans sont « neutres en carbone » et après le « greenwashing », s’ajoutent les « greenbashing », « socialwashing » et autres gros mots dans le genre.
Mais quand tout devient vert, le consommateur voit rouge…
heureusement…
Les agences en communication responsable essaient de faire le tri, de démêler le vrai du faux, d’alerter les consommateurs et surtout de ne pas mentir, enfin, pas trop…mais de mettre en lumière toutes les bonnes actions qui participent de près ou de loin au bien collectif, même si la route est longue.
À ce propos, communiquez en évitant les pièges du greenwashing avec…
tu connais pas dd?
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